Aujourd'hui en cours d'italien, Chiara nous a lu un texte (on devait répondre à des questions…)
Ce texte ce trouve être une critique contre la parole et aussi contre le silence. Il faut le remettre dans le contexte de l'après-seconde Guerre mondiale…
Contre la parole, parce que ce le langage d'avant-guerre ne convient plus…
Contre le silence, parce que le silence est considéré comme un refus d'exprimer - et donc de pleinement reconnaître - ce qui c'est passé. Un silence de facilité voire de lâcheté.
Je comprends le sentiment de l'auteur, qui va jusqu'à dire que le silence est un péché mortel (cf péchés capitaux)
Toutefois, il y a vraiment des moments où la parole gâcherait un moment unique, où la parole n'a pas sa place parce qu'elle n'exprime pas ce que le silence dit bien mieux…
Donc plutôt que de continuer à blablater, je continuerais en silence.
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